La soirée entre filles devient une nurserie

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy
il y a 7 ans
Quand les filles décident de jouer les nurses, le diaper-boy a du soucis à se faire

Devant être absent pour la soirée, ma femme a prévu une soirée entre fille. Mais mon RDV annulé, je rentre, il est 20 heures. J'arrive à la maison, ma femme est absente, mais 2 de ses amies sont là. J'en connais une mais pas l'autre. La première que je connais bien s’appelle Christelle, la seconde Marianne. Toutes les deux sont installées sur la terrasse, je les rejoins pour prendre un apéro.

Alors que nous discutions de choses et d’autres, le téléphone de Christelle sonne. Elle décroche.

  • Ah tu vas bien, dit Christelle. On t’attend, que fais-tu ?

Je devine qu’il s’agit de mon épouse, à moins que ce soit une autre de ses amies.

  • Au fait ton mari est là...

Ma femme est tellement en colère que j’entends sa réponse malgré l’éloignement de l’appareil.

  • Comment ça, il est rentré ?

  • Son rendez-vous est annulé alors il est rentré

  • Je lui avais dit de ne pas rentrer de bonne heure et de nous laisser entre filles.

  • Ah oui, dit Christelle. La soirée est un peu compromise.

Je n’entends pas la réponse de ma femme, mais je devine qu’elle n’est pas calmée. Christelle finit par raccrocher.

  • Et bien, elle n’est pas contente. A mon avis tu vas te faire engueuler

  • C’est pas grave, dis-je d’un ton désinvolte. J’ai l’habitude, ajoutais-je d’une voix de victime mais aussi de mari blasé.

Nous changeons de conversation quand le téléphone de Christelle sonne à nouveau.

  • Allo, dit Christelle. Ah c’est toi

Ayant entamé une discussion avec Marianne, je n’écoute pas la conversation de Christelle avec son correspondant. Mais tout d’un coup une phrase attire mon attention.

  • Ah d'accord, ok je lui donne le biberon…

  • Oui pas de problème, je lui change sa couche et je le mets au lit…

  • Ah la barboteuse rose, oui, ne t'inquiète pas je ferais le nécessaire.

A peine Christelle a-t-elle raccroché, qu’elle se lève et se dirige vers la cuisine, me laissant seul avec Marianne. Alors qu’elle allait passer la porte Marianne l’appela :

  • Eh Christelle, Je croyais que nous devions passer une soirée entre filles sans mari et surtout sans enfant.

  • Oh ne t’inquiète pas, il s’agit du bébé d’une amie dont je dois bientôt m’occuper.

  • Ah, fit simplement Marianne avant de retourner vers moi pour continuer notre conversation

Pendant que je l’écoutais, j’essayais de calmer les battements de mon cœur. Pendant un instant j’ai cru qu’il s’agissait d’un appel de ma femme et qu’elle parlait de moi. Il faut dire qu’elle aime bien me dominer dans l’intimité et elle aime me faire régresser de f o r c e en m’imposant des couches et des biberons.

10 minutes plus tard, Christelle réapparaît. Elle s’approche de nous et s’arrête juste en face de Marianne et de moi-même.

Sans rien dire, elle sort de derrière son dos plusieurs objets qu’elle pose sur la table. En fait d’objets, il s’agit d’un change complet, de 2 couches droites, et une culotte rose en plastique avec 4 pressions de chaque côté. Je suis précis car immédiatement je reconnus une de mes culottes. Je reste stupéfait en regardant ces couches et cette culotte. Christelle en profite alors pour me dire d’un ton très banal comme si la situation était tout à fait normale :

  • Bon Chris, j'ai mis ton biberon à chauffer. Pendant ce temps, je vais te mettre tes couches. Mais je ne trouve pas ta barboteuse?

  • Mais qu'est ce que tu racontes répondis-je sous le regard ébahi de Marianne.

  • Ah, tu ne discutes pas, j'ai encore eu ta femme au téléphone et elle m'a dit de m'occuper de toi et de te mettre au lit. Elle est très en colère que tu viennes gâcher notre soirée entre filles. J'ai promis que tu serais au lit avec tes couches et ta barboteuse avant qu'elle ne rentre. Alors dépêche-toi de me dire où est ta barboteuse, car je crois qu'il vaudrait mieux pour toi que tu sois couché avant qu'elle arrive.

Sans m'en rendre compte je réponds

  • Dans l'armoire de la chambre

Sans perdre un instant elle quitte la terrasse en laissant les couches et la culotte sur la table. Marianne s'empresse de tendre la main pour attraper la culotte plastique, puis de l'autre elle prend le change complet

  • C'est à toi me dit elle, un sourire aux lèvres

  • Bah... je ne sais pas quoi répondre

  • Tu fais encore pipi au lit?

  • Pas qu'au lit, répond la Christelle qui surgit sur la terrasse avec la barboteuse à la main. Monsieur fait aussi dans sa culotte. Hein Chris que tu fais encore pipi dans ta culotte, me demande-t-elle d'un ton autoritaire.

Je la regarde d'un air suppliant, car la honte m'empêchait de répondre. Surtout je réalisais que ma femme avait dû tout raconter à ses copines. Les couches, les culottes, les barboteuses, brefs tout sur mes habitudes de grand bébé.

  • Notre petit Chris semble avoir perdu sa voix dit Marianne en m'attrapant par le menton et en me secouant doucement la tête de droite à gauche.

  • Tu as raison dit Christelle, mais après tout c'est normal, un bébé ça ne parle pas et surtout ça obéi!

  • Oh ne soit pas méchante avec bébé Chris dit l'autre copine sur un ton moqueur en me regardant. Bébé va être bien sage. Hein Chris, tu vas être bien sage, on va te mettre ta couche et ta jolie culotte et surtout cette superbe barboteuse.

En disant ces mots elle attrape la barboteuse? Cette dernière était rose en plastique avec pleins d'anneaux sur les côtés et le devant.

  • C'est incroyable une vraie barboteuse de bébé, dit Marianne.

Puis elle tourne la tête vers sa copine.

  • Tu vas vraiment lui mettre ces couches et cette barboteuse

  • Mais bien sûr répond Christelle. Et immédiatement en plus. Ensuite, nous lui donnerons son biberon puis direction le lit. Comme ça nous aurons notre soirée entre filles.

  • Tu plaisantes, tu lui fais une blague, dit Marianne

  • Mais non pas du tout, Chris est un vrai bébé avec couches biberons et tout ce qui va avec.

  • J'ai du mal à te croire, dit elle en me fixant du regard

  • Ces couches, cette culotte en plastique, cette barboteuse, sont bien réelles! Tu ne crois pas que sa femme a acheté tout cela juste pour faire joli. Chris est un vrai bébé qui en plus salit ses couches.

  • Je n'en reviens pas.

Puis en me regardant Marianne me demande :

  • Tu portes vraiment des couches et tu fais dedans?

Je reste sans répondre

  • Bébé Chris semble un peu gêner et ne veut pas te répondre. Allez Chris dis-lui que c'est vrai et qu'en plus tu aimes ça.

Je reste toujours sans répondre en prenant soin de ne pas les regarder en face.

  • Tu ne réponds pas! Bon alors lève-toi, m’ordonne Christelle.

J'obéis et me retrouve debout devant l'autre copine

  • Tu n'as qu'à vérifier lui dit Christelle, sa femme m'a dit qu'il avait une couche sous son pantalon, c'est le moment de vérifier si c'est vrai.

La copine se penche alors en avant. Toujours assise elle attrape le zip de ma braguette et la fait descendre tout doucement. Apparaît alors le blanc plastifié de mon change complet. Elle écarte un peu la braguette et fixe du regard le plastique de ma couche.

  • Mais c'est vrai s'exclame-t-elle.

Puis du bout d'un doigt, elle touche le devant de ma couche

  • C'est du plastique, c'est vraiment une couche. Je ne peux pas y croire.

D'un geste, elle attrape ma ceinture, la défait, puis elle déboutonne mon pantalon, écarte bien les pans de chaque côté, avant de baisser d'un coup mon pantalon sur mes chevilles.

  • C'est pas vrai! Il porte vraiment des couches

  • Eh oui dit Christelle, je te l'avais bien dis

Heureusement ma couche était propre, et cela m'évitait l'humiliation d'exhiber une couche trempée.

Marianne me demande :

  • Tu portes des couches pour t'amuser ou tu fais vraiment dedans ?

Je n'ai pas le temps de répondre

  • Il aime ça et en plus il fait vraiment dedans et sa femme est obligée de le langer nuit et jours

  • Vraiment répond Marianne? Je serais curieuse de voir ça dit elle en rigolant

  • Demande lui de faire pipi dans sa couche tu verras bien

  • C'est une idée. Tu veux bien faire pipi dans ta couche me demande t elle

Comme je restais sans réagir Christelle prit la parole

  • Obéi Chris sinon je dis à ta femme que tu n'as pas été sage et tu vas recevoir la fessée de ta vie devant nous.

Marianne pose alors sa main sur ma couche.

  • Allez Chris pour me faire plaisir. Oh mais qu'est ce que je sens là? Mais... il bande!

En effet malgré la honte, cette situation m'avait excité au plus haut point

  • Je comprends mieux pourquoi il n'arrive pas à faire pipi. Je vais arranger ça dit Christelle.

Elle attrape alors plusieurs glaçons dans le bac à glace et les glisse entre le haut de ma couche et mon ventre. Le froid me saisi. La sensation empire quand les glaçons glissent le long de mon sexe. L'effet est immédiat. Marianne tâte alors une fois de plus ma couche, et malaxe un peu les glaçons à travers le plastique et l'épaisseur de la ouate.

  • Tu crois que ce truc est efficace, demande Marianne.

  • Ça marche à tous les coups, bon maintenant que bébé Chris est prêt, il va faire un gros pipi pour ma copine, sinon je vais chercher la badine pour lui cingler les fesses cul nu !

Réalisant qu'elle était capable de le faire, je m'efforçais de me détendre. Enfin un petit jet sortit, puis ma vessie se vida complètement. La chaleur me fit du bien, mais mélangée au froid des glaçons qui, bien évidemment, fondaient, la sensation était bizarre. Marianne qui avait toujours sa main sur ma couche sentit elle aussi la chaleur envahir ma couche.

  • Oh je sens, c'est tout chaud. Bébé fait pipi...

  • Tu me crois maintenant? Bon maintenant que bébé est tout mouillé je vais changer sa couche. Allez Chris direction la chambre.

Elle reprit alors les couches, la culotte et la barboteuse restées sur la table et me poussa en direction de la chambre. Comme mon pantalon entravait mes chevilles, je manquais de tomber à chaque pas.

  • Marche à 4 pattes me dit-elle en me poussant suffisamment pour que je tombe en avant.

Me retrouvant à 4 pattes, mon derrière exhibait clairement l'épaisseur de ma couche trempée sous le regard et les rires de Marianne. Christelle me tira alors par les cheveux et me fit avancer ainsi jusqu'à la chambre. Heureusement Marianne resta sur la terrasse. Au moins je n'aurais pas la honte d'être langé devant elle. Une fois dans la chambre Christelle lâcha mes cheveux.

  • Tu ne bouges pas, je vais préparer tes couches.
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